La wishlist de Wai Ming
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La wishlist de Wai Ming

La Dinde Rouge des Ardennes par Antoine Westermann

Cette année, Antoine Westermann s’invite à domicile, puisque vous pourrez commander et emporter chez vous une véritable dinde gastronomique dans un bouillon Coq Rico, et une recette signée du chef du Coq Rico pour finir sa cuisson.
90€, la Dinde Rouge des Ardennes rôtie à la façon Westermann pour 6 personnes
Réservation 24h à l’avance
Le Coq Rico
98, rue Lepic 7018 Paris
Tél. 01 42 59 82 89

Escape game au Château St Jean en Californie

Vous connaissez le principe de l’escape game ? Vous êtes enfermés dans un lieu et vous devez résoudre des énigmes pour en sortir. Le Château St Jean à Sonoma en Californie vous propose un jeu d’évasion où vous serez récompensé par un verre de vin à chaque bonne réponse !
Environ 60€ par personne (de 6 à 12 personnes)
Plus d’informations sur le site du Château

Un magnum de champagne Boërl & Kroff

Repéré sur le site de notre ancienne spécialiste des vins Gabrielle Vizzavona, Boërl & Kroff fait partie des champagnes les plus chers au monde. Créé par deux passionnés – Stéphane Sésé et Patrick Sabaté -, le vin est élaboré par la maison Drappier, avec un cahier des charges des plus exigeants, et n’existe qu’à partir du magnum… soit de quoi piquer ma curiosité !
A partir de 5 000€ le magnum
Plus d’informations sur http://www.boerl-and-kroff.com/

Plus de femmes

Et pas qu’à la maison, je vous vois venir… A mort l’aréopage de poilus ventripotents à toutes les sauces, dans les cuisines et tous les jurys, cet archaïque patriarcat de la gastronomie qui perdure 600 ans après la mort de Taillevent. Vive la mixité. Les femmes valent bien les hommes : elles sont aussi douées, aussi performantes, aussi créatives et aussi chiantes que n’importe quel mec.
Prix : beaucoup d’effort et de patience.

Du journalisme gastronomique

« Être journaliste, c’est imprimer quelque chose que quelqu’un d’autre ne voudrait pas voir imprimé. Tout le reste n’est que relations publiques. » disait George Orwell. Ce qui me conduit à penser que je n’ai dû croiser que deux journalistes gastronomiques dans ma vie, le reste n’étant composé que d’écornifleurs et de courtisans.
Prix : inestimable.